En 2009, la loi « Grenelle I » prévoyait de « doubler la part du fret non routier pour les acheminements à destination et en provenance des ports d’ici à 2015 ». Un vœu pieu, comme l’illustre la situation du transport fluvial…
À l’heure de la
COP 21, nul ne peut ignorer les enjeux liés à la réduction de
l’empreinte carbone des acheminements terrestres. Une prise de conscience devenue globale, y compris chez les transporteurs routiers, pourtant souvent pointés du doigt. Comme l’indique Marc Grolleau, le président de l’Aftri (Association française du transport routier international) : « Il faudrait vraiment avoir un tout petit esprit pour ignorer ces problématiques »…
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